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S’ils étaient célibataires, 37% des Français seraient prêts à s’inscrire et à installer une application sur leur smartphone.

36% des Français seraient prêts à s’inscrire sur un site alors que 22% pourraient installer une application de rencontres.


Plus d’1 Français sur 5 a déjà consulté un site ou utilisé une application de rencontres, 5% en sont encore utilisateurs aujourd’hui.

Parmi les Français qui ont déjà le plus fortement utilisé des applications de rencontres on trouve notamment les personnes vivant seules (37%) et les moins de 35 ans à hauteur de 37%.

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SONDAGE

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Victor Saison Willot: " L’idée de cette appli de rencontres m’est venu en discutant des avec des amis qui avaient eu des mauvaises expériences sur certains sites."

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BREF j'ai matché

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Chapitre 1

Pourquoi je m'inscris?

Chapitre 2

Qu'est ce que je cherche?

Chapitre 3 

Les techniques de drague

Chapitre 4

Qu'est ce que j'ai trouvé?

Accueil

- 56% des Français jugent que les applications sont des lieux de rencontres comme les autres, pour eux ces outils permettent de nouer des relations d’un soir plus sûrement que des relations sérieuses.


- Pour 56% des Français, ces sites et applications sont des « lieux de rencontres » comme les autres.


-Pour 84%, les applications de rencontres vont se développer dans les prochaines années.


-Pour 88% des Français, les sites et applications de rencontres permettent de nouer des relations d’un soir et seuls 39% considèrent que les sites et applications de rencontres permettent de nouer des relations sérieuses.


Jour 1 :

 

Nous y sommes, le téléphone dans les mains je télécharge « Happn’ » l’appli du moment en France. Le but est de « chatter » avec des gens de ton périmètre comme tes voisins, tes collègues de travail, ou de parfaits inconnus partageant au même moment la même activité.

L’application ouverte je complète les champs imposés, il m’est demandé de lier mon compte Facebook à l’application alors que je souhaite éviter d’afficher mes informations personnelles. J’opte finalement pour un faux compte Facebook sous le pseudo de « Yammar » (les lettres de mon prénom inversées). La synchronisation se fait automatiquement et dans quelques clics je serais officiellement membre de cette communauté virtuelle. Pour me décrire j’affiche une photo sauvegardée sur mon compte « snapchat » personnel, qui est de prime abord plutôt discrète et où seuls mes yeux, caché derrière un masque, sont visibles. Je valide mon profil, mon compte Happn’ est finalement crée et mis en ligne. Je laisse l’application se charger de tout.

 

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Jour 2 :

 

J’ai 11 charmes (un charme est une proposition de discussion qu’on peut accepter ou ignorer) . Onze hommes qui souhaitent me rencontrer ? Me parler ? Qu’attendent-ils de moi ? Pour le savoir je suis obligé de tous les « charmer » un à un, et je ne fais aucun favoritisme, puisqu’il ne faut pas oublié que je me suis lancé dans cette aventure dans le but de comprendre ce que recherchaient les « Happener ».

J’ai plus d’opportunités que le nombre de touches sur un piano de rencontrer quelqu’un aujourd’hui, mais on a parfois l’impression que cela est trop facile. Et puis, Happn’ n’est pas non plus devin pour savoir ce qui me correspond. C’est pourquoi je peux aussi déterminer des critères, mais larges. Seule possibilité, une tranche d’âge sélectionné.

Vous remarquerez que je m’adresse aux utilisateurs de Happn’ de façon sèche, c’est pour leur éviter sait-on jamais de s’attacher à une personne qui n’a pas l’intention de les rencontrer.

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Le journal de Maryam

VICTOR SAISON WILLOT, co-fondateur de Tutti Flirty